Chez les jeunes patients, âgés d'une vingtaine d'années, le résultat est sans appel. Les casques leur ont permis de bouger et de s'échapper "virtuellement", ce qui leur a apporté apaisement et divertissement. Grâce aux diverses applications, ils ont pu s'évader dans la nature, regarder les étoiles ou encore pratiquer une activité sportive. Ils rendraient plus supportables les traitements administrés.